Mr Menyata Gaspar, se cachant les yeux avec les ailes d’une chauve-souris attrapée à l’aide d’une arbalète.(Photo: Oishi)
Un enfant pygmée Baka met une genette (genetta servalina) sur sa tête, que son père a capturée et qu’il lui a apportée. Les pygmées Baka appellent les genettes « mboka ».(Photo: Hattori)
Un pangolin à écailles tricuspides (Manis tricuspis), appelé « kokolo » par les pygmées Baka. C’est un étrange animal au corps couvert d’écailles. C’est très bon.(Photo: Hayashi)
Un bébé mangabey (lophcocebus albigena) ou « ngada » pour les pygmées Baka.(Photo: Hattori)
Une civette (civettictis civetta) ou « liabo » en baka. Les hommes en mangent mais pas les femmes.(Photo: Hattori)
Un chevrotain aquatique (Hyrmoschus aquatics), que les pygmées Baka appellent « ngeke ». Lorsqu’ils sont chassés par un prédateur, il arrive parfois qu’ils se cachent dans les eaux pendant quelques minutes.(Photo: Hattori)
Un céphalophe de Peter (Cephalophus callipygus) ou « ngendi » en baka, et un céphalophe bleu (Celphalophus monticola) ou « ndengwe » en baka.(Photo: Hattori)
Un potamochère roux (Potamochoerus porcus) appelé « pame » en baka. Ils ont une belle apparence et sont très populaire chez les Baka pour leur gout. On peut en voir au Japon au parc zoologique de Yokohama Zoorasia.(Photo: Hayashi)
Un bébé calao à huppe blanche (Tropicranus albocristatus cassini) ou « bedi » en baka.(Photo: Hattori)
Une nigrette à ventre roux (Nigrita bicolor) ou « bomboko » en baka.(Photo: Hattori)
La vie en forêt semble avoir généré des chiens de chasse malins. Le chien « Kaiman », ici à gauche, a grandi et est devenu un brave chien après que Mr Yasuoka l’a adopté.(Photo: Hayashi)
Il y avait aussi un chat sympathique dans le village. Lorsque les souris faisaient des siennes, un ami baka a sorti ce chat de nulle part.(Photo: Hayashi)
Une vache amenée à Moloundou par des Peuls qui viennent d’une localité à des centaines de kilomètres plus loin afin de vendre sa viande.(Photo: Inai)
Un caméléon vivant dans la forêt, appelé « gE:gEl » en bakewele. Un enfant l’a attrapé et l’a apporté, le gardant fièrement dans un panier, afin de me le montrer mais il semblait avoir peur de le toucher. Sur cette photo, le caméléon semble être vert foncé vu que l’intérieur du panier était sombre ; mais lorsqu’on l’a extirpé pour le mettre au soleil, il est rapidement devenu jaunâtre. On dirait que le caméléon n’a pas oublié comment agir quand il est exposé au soleil. Les caméléons ne sont pas utilisés comme nourriture mais ils sont de formidables partenaires de jeu pour les enfants.(Photo: Oishi)
Un garçon pygmée Baka, Gedja, me montre un « samba » qu’il a capturé vivant.(Photo: Oishi)
Mr. Simon and Great Blue Turaco. (Photo: Oishi)
Cette photo montre la capture sur le vif d’un « kanga » (pintade de Pucheran) par mon ami Dede à l’aide d’un collet Ces types d’oiseaux terrestres sont capturés occasionnellement. Ils ne sont pas très charnues mais leur chair est délicatement filandreuse et leur jus est riche, ce qui en fait un met succulent lorsqu’ils sont cuits en soupe.(Photo: Oishi)
L’athérure africain, qui est souvent pris dans les collets. On l’appelle « guoub » en bakwele, « boke » en baka, « ngomba » en Lingala. Ses pics sont généralement utilisés pour coiffer les cheveux des femmes.(Photo: Oishi)
Voici un cercopithèque de Brazza, qui a été pris dans un piège. Il a été capturé vivant pendant la chasse dans le village de Bamileke, à Obala, non loin de Yaoundé.(Photo: Oishi)
Une mouche tsé-tsé. Elles vivent le long des fleuves. Elles se montrent quand le soleil se lève et la forêt se réchauffe. Elles sont connues pour provoquer la maladie du sommeil chez les humains et font très mal lorsqu’elles vous piquent. Attrapée dans le village de Ntam, près des frontières congolo-camerounaise en 2009.(Photo: Oishi)
Un centipède, ou « ngongolo » en baka. Ils ne piquent pas les humains, qui pourtant les redoutent.(Photo: Oishi)