La forêt au crépuscule. Coucher du soleil vu du fleuve Dja qui parcourt les frontières de la République du Congo et du Cameroun.(Photo: Hattori)
Traversée en bateau hors-bord (vidéo prise brièvement avec un appareil photo numérique).
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Mon (Inai) espace de recherche renferme un lac en forme de croissant mais il est impossible de pêcher à cause des élodées qui le recouvrent.(Photo: Inai)
Une route couleur ocre fend la forêt. Elle est aussi cahoteuse qu’une planche à laver pendant la saison sèche mais elle est couverte d’une boue molle pendant la saison des pluies.(Photo: Hattori)
La forêt tropicale vue des hauteurs près du village de Maléa-Ancien, l’un des sites de recherche. Un tapis vert s’étend à perte de vue.(Photo: Hattori)
(6) La savane dans le parc national de Lobéké. Lorsque je marche à travers la forêt, la vue s’éclaircie soudainement. De grands animaux comme les éléphants et les buffles s’y montrent souvent.(Photo: Hattori)
Un paysage près de Rumsiki dans le nord du Cameroun.(Photo: Kitanishi)
L’immensité : autrement que la forêt, le ciel bleu et la terre tapissent la savane.(Photo: Yasuda)
La tempête : elles sont nombreuses quand la saison des pluies approche.(Photo: Yasuda)
Aux abords de mon (Yasuda) village de recherche, on peut sentir le souffle de nombreux animaux comme les lions, les éléphants et les antilopes. Les hippopotames vadrouillent aussi dans le fleuve.(Photo: Yasuda)
La pleine lune : après que la nuit s’installe, l’aube se fait attendre.(Photo: Yasuda)
Coucher de soleil sur la savane : un jour prend fin.(Photo: Yasuda)
Les chutes de Ngi’i apparaissent tout à coup dans la forêt. Elles se trouvent à environ 50 km à vol d’oiseau du village de Ndongo en longeant le fleuve Dja. Il y règne une atmosphère inquiétante avec des échos étranges qui peuvent s’entendre même durant la saison sèche, alors qu’il y a peu d’eau. C’est également un lieu où les poissons sont pris au piège ; ainsi, le niveau supérieur est une vraie mine d’or à poisson. On dit que ces chutes sont en admiration devant les villageois.(Photo: Oishi)
Au sommet de la montagne rocheuse entourée de la forêt et de la savane, les femmes Kako sèchent le manioc. Les habitants appellent cette montagne Ngula.(Photo: Oishi)